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Sabliere2008
Notre village − 166/185
Un chamelier a la "Sabliere"
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[6] Commentaires des visiteurs du site
JL CASSAR
Mercredi 30 Août 2006 21:56
Effectivement, ily avait quelques chameaux qui déambulaient parfois dans Ménerville. Je me souviens en avoir vu plusieurs fois à la cité Siegwald, accroupis devant un garage en face de la morgue,dans lequel étaient entreposés de grands sacs de caroube. IL s'en dégageait une forte odeur peu agréable et ces chameaux je l'avoue me faisait un peu peur quand ils avançaient leur grosses tetes en avant. Je suis sur que les cops de la cité s'en souviennent...
Henri CALATAYUD
Samedi 2 Septembre 2006 14:32
Mon cher JL les caroubes un vrai délice on les disputait aux chameaux aux cochons et autres ânes .
gino italie
Jeudi 28 Décembre 2006 18:05
si je ne me trompe pas ce sont les chameaux de ami zougaghi de sidi yahia il est plus connu a belle fontaine .ces fils sont tous vivants ciao a tous
kamal
Mercredi 14 Novembre 2007 18:52
on peut voir un chamelier trés connu en la personne de rabah hamadache sur le dos d 'un chameau de kabylie une espece introduite depuis des lustres et qui s'est adaptée au climat froid de kabylie et son refief escarpé
je me souviens que le terrain en face des trois batiments de la sabliere sevait de parc aux betes de trait(anes ,baudets,mulets et chameuax) surtout le mardi jour de marché.
Djillali B.
Jeudi 6 Juin 2013 10:08
Bonjour Jean Bernard, je t'envoie ce texte .A toi de voir s'il merite l'intéret de nos amis reciproque. Merci et bonne journée.

Mariage arrangé !
La fête battait son plein chez el hadj Kada Bouziane qui habitait une magnifique propriété dans la banlieue oranaise. Les tables étaient déjà dressées et les invités commençaient à affluer dans la demeure familiale. « El hadj » mariait une de ses filles. Dans la matinée, la jeune demoiselle , accompagnée de ses plus proches parentes et amies, s’était rendue au hammam pour le bain rituel de la 3roussa . L’après- midi, des femmes de sa future belle famille se sont affairées à préparer le trousseau de la mariée. Tout fut bien rangé dans des valises qu’on amena directement chez les parents de la fille accompagné de youyous stridents pour être porté ensuite dans le nouveau domicile de la jeune épouse où tout y fut déposé et arrangé. Les beaux-parents accueillirent ces visiteuses avec des gâteaux, de la limonade et du café. En toute fin d’après midi, vers dix -neuf heures, dix -neuf heures trente, un imposant cortège de voitures décorées de fleurs multicolores et rubans flottants au vent, klaxonnant à qui mieux mieux, s’arrêta dans la ruelle et tout ce beau monde s’avança vers la maison en chantonnant. Pendant que les femmes se dirigeaient vers la maison, le père de la mariée accueillit chaleureusement ses invités masculins et les invita à diner. Il les guida vers des tables déjà garnies sur lesquelles un couscous royal, fumant et appétissant les attendait. C’est alors que le père du marié intervint et déclara devant toute l’assistance réunie : « Pourquoi t’es-tu donné tant de mal, Sil Hadj, des nattes ou des tapis posés à même le sol dans ce grand et magnifique salon auraient suffit à notre bonheur. Le couscous s’apprécie mieux, servi dans des grandes « gas3a » autour desquelles nous nous serions tous réunis. » et il insista tant et si bien que son hôte finit par céder et ils dinèrent par terre accroupis, assis en tailleur, sur leurs talons « comme au temps du Prophète (qssl) » lança ravi le papa du marié. Le repas terminé, on servit ensuite du café et du thé, accompagné de gâteaux traditionnels succulents. Des youyous joyeux et perçants clôturèrent enfin la cérémonie de la Hanna et tout ce beau monde rentra chez soi en se donnant joyeusement rendez vous pour le lendemain.
Dans l’après- midi du jour suivant, le même cortège déboula dans la ruelle, le père du marié en tête de file. Il descendit le premier et s’adressant au père de la mariée lui dit « je suis venu chercher ma fille ».Son interlocuteur s’avança vers lui et tranquillement lui lança, pour l'instant c'est encore la mienne, elle ne sera la tienne qu'une fois arrivée chez toi, mais dis- moi comment va-t-elle rejoindre son nouveau domicile ? »
-Mais cette magnifique limousine est à sa disposition, mon ami ! »
-Non, pas question, il te faudra trouver un chameau, mon ami, sinon ma fille restera ici » Le futur beau père avait beau se dandiner, fourrager dans sa longue barbe teinte au henné qu’il avait impressionnante et broussailleuse, insister, geindre, prier son interlocuteur, tous ses arguments furent rejetés par El Hadj Kada qui resta inflexible et le mariage fut annulé faute de chameau.

hamadache
Samedi 5 Avril 2014 18:51
ce chamelier en question ;il se trouve que c est mon père;c était une couverture jadis!!!!!!il était membre de l armée de libération national sa vous bouche un coin non!!allah yarhmou et j en tire une grande fierté qui me poursuivrait jus qu a ma mort que dire de plus s était un homme avec des valeurs et principes surtout patriotiques je pourrai en raconter des histoires de la vie qu il a vécu pendant la guerre et il s en est tire avec une bien belle blessure .
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