Cher Tito,
Je t'ai connu au tennis, très bon joueur, notre aîné, à nous les petits joueurs de la Sablière...
Tu me donnais ces conseils :
"Ton coup droit, c'est bon, mais frappe ton revers,
frappe!"
Et puis, quand je t'avais rencontré ce jour de 1962 à PARIS, j'avais "un peu" grandi et arrivé presqu'à ta taille, et tu m'avais dit, en bombant le torse :
" Dédé, attention que moi, je suis encore plus fort que toi!"
Ces petites anechdotes, j'ai dû te les ressasser plus d'une fois, lors de nos rencontres Ménervilloises, mais encore une fois, je te les rappelle en signe d'amitié et d' Au revoir...
Tchao, Tito!