c'est hussein dey vue prise sur les hauteurs du ruisseau.. ont devine tout au fond à la pointe de la baie Lapérouse ( entre les 2 bateaux blancs)

Mon cher DJILLALI,

Je ne sais pas si tu y a déjà pensé,mais je crois que "réunir " dans un fascicule toutes ces nouvelles que tu nous conte depuis déjà bien longtemps,pourrait ravir pas mal de lecteurs...Tu arrives à marier réel et imaginaire (tes souvenirs et tes rêves) ..merci pour ces bons moments qui ,il faut l' avouer ,nous font faire un joli bond en arrière !!!!....

Bonjour Paul, je suis honoré qu'un ancien collégue prend la peine de lire mes écrits.
.
Pour le " fascicule ",merci pour l'idée et j'y penserais quand j'aurais suffisamment de textes à présenter.
Bonne journée.

Djillali de 2016 ou de 1966 c'est pareil. Un demi-siècle après avoir connu ses "rédactions" ou "dissertations" du collège je retrouve toujours cette même perfection. Djillali dompte les mots comme le fait un dompteur de cirque avec ses fauves.
Djillali tu nous as donné tant de complexes devant Mokhtar HESBELLAOUI notre maître à l'époque, mais ce n'est pas de ta faute, tu es excusé.
Il y a Hmidet que j'ai vu récemment qui te salue chaleureusement.

Bonsoir Kamal, kamal yousfi n'est ce pas ?

Excuse ma mémoire plus aussi fraîche comme avant .

Oh comme je voudrais que toi, Hamidet et moi puissions autour d'un bon café ,évoquer les années CEG et passer en revue souvenirs et camarades de cette belle époque!

Tu sais j'ai vu Monsieur Has .
Toujours le même bonhomme si prenant si cultivé et si sympa.Il t'étonnerait si tu le revoyais.Il habite Alger.Je pourrais même te donner son adresse à l'occasion.

Hamidet est cet ami d'infortune en conscrits que nous étions en 1974 à Blida.Des souvenirs fabuleux.Et impérissables.


Un petit Souvenir.

Le CEG garçons.

Un long et strident coup de sifflet directorial se faisait toujours entendre et les portes de l’Ecole s’ouvraient. On y accédait par un grand portail vitré donnant sur une petite esplanade qui prolongeait le bureau du chef d’établissement. On descendait quelques marches et on débouchait dans la cour. Elle était immense cette cour et cette sensation d’espace à ciel ouvert était renforcée par la présence de préaux tout en longueur que ponctuaient harmonieusement ça et là des colonnades circulaires qui montaient vers le ciel. Des petits jardins séparant le « primaire » du cours complémentaire, abritaient des palmiers nains et des bougainvilliers taillés avec amours et parés de fleurs violettes qui ont toujours enjolivé les photos scolaires. Les salles de cours étaient spacieuses, très hautes de plafond .Leurs murs en pierre de taille étaient si épais qu’une douce sensation de fraîcheur vous enveloppait les jours de canicule estivale. La lumière pénétrait à flots par les fenêtres et les baies vitrées qui se faisaient face donnaient aux murs une impression de transparence absolue. Les tableaux fixés aux murs étaient d’une essence si dure qu’ils n’ont jamais éprouvé le besoin d’être changés et les pupitres à encriers de porcelaine étaient déposés délicatement sur une armature en fonte très confortable et très solide faite pour durer presque éternellement. Estrades et bureau du maître complétaient un mobilier somme toute sobre mais de qualité certaine. Une cantine scolaire offrait bol de lait et repas chauds à des enfants venus de loin et se transformait de temps à autre en salle de cinéma, véritable ciné-club qui donnait lieu à des débats parfois houleux .Au sous sol, des douches permettaient à l’élève de se rafraîchir après une bonne séance d’EPS. Cette école que je ne reverrais plus, fut un véritable modèle du genre .Elle restera là, gravée dans ma tête, comme une douce blessure et il m’arrive même, en fermant juste les yeux, de revoir, aujourd’hui encore, avec un sentiment de respect immense, nos maîtres qui s’y sont succédés, années après années, debout sur leur estrade, un livre de lecture à la main, nous baliser, leçon après leçon, le chemin qui conduit vers la lumière.

Bonjour.

le visiteur du Dimanche 26 Juin 2016 à 23:09 qui s'étourdit au point de visiter le site en invité anonyme s'excuse.J'ai toujours eu pour habitude de signer mes messages et, pour cette fois ci aussi, l'intention y était. Mille excuses Jean Bernard et Kamal. Je vous suis redevable d'un bon thé à siroter à la première occasion.

Chaque fois qu'une personne,petit ou grand, homme ou femme, un citoyen du monde , un innocent se fait tuer ,je me solidarise avec sa famille, ses proches, ses amis .

Pour avoir vécu les affres de la perte d'un être cher tué par des monstres, mon cœur est proche des victimes de Nice.Tuer sans raison autre qu'une vengeance bête et sans gloire, des innocents ne fait avancer aucune cause.

Il reste cependant à dire que toutes les victimes de l'hydre obscurantiste se valent, et que les larmes d'un peuple valent bien celles d'un autre peuple.

les événements monstrueux de Nice sont-ils à mettre sur le dos d'un terroriste abjecte et abominable ou sur celui " d'un combattant islamiste" ?

Faut-il que les monstres agissent en occident pour leur faire perdre leur statut de combattants activant pour une cause.

L'Algérie a vécu, durant deux décennies,des drames inimaginables,elle en vit encore et elle sait, elle, où classer ces monstres et de quel enfer il se réclament .

Alors que les amalgames cessent pour que la légalité internationale reprenne ses droits en se solidarisant avec toutes les victimes du monde quelque soit leur religion, leur pays, la couleur de leur peau .

Que les pays du monde entier voient leur politique et leurs efforts tendre vers un même but lutter contre tous les terrorismes de quelque nature qu'ils soient et partout dans le monde!

Maison close une cage à poules.

Poules de luxe et poules de trottoirs elle sont aussi dignes que n'importe quelles poules de ménage, suceuses de maris, croqueuses de diamants, allumeuses de feux dans les foyers d'autrui.
Casseuses d'harmonie du couple, briseuses de ménage.

La poule de trottoir , c'est notoire, c'est une " gagneuse " et le pain des fesses en vaut bien un autre.Il n'est pas volé c'est une mie blanche aussi pure que la croûte qui le recouvre.

La maison close se tolère, se critique, se dénigre pourtant c'est la soupape de sécurité d'un milieu social donné .Certains se la nomment putain, une femme qui gagne sa vie bien qu'elle en voit de dures mais aussi de bien molles !

Chez-nous et presque partout, elle a une raie publique informelle, illégale, qu'aucune république pudique ne reconnait.Et ceux qui en usent le plus sont ceux justement qui crient le plus fort au loup.

Oh, il a toujours, les rombières tchatcheuses de derrière les fagots, les acariâtres comme pas un , les bonnes âmes, les braves gens,la bile aux lèvres, méchants comme une tique de sous bois désherbé et qui ne cessent de faire travailler et leurs langues acérées, et leur regards pointus qui avilissent des reines toujours meilleures qu'eux.

Ils y a toujours des donneurs de leçons, des coupeurs de cheveux en 21 qui psalmodient leur valeurs pensant que les
valeurs d'autrui ne valent rien.

Il existe des boxons et des filles de trottoirs comme et parce qu'ils existent des non couples qui s'acharnent à vivre ensemble en dépit de l’échec consommé.

Ils existent des boxons et des filles de trottoirs comme ils existent des maris infidèles et des femmes frigides.

Il existe aussi des femmes à hommes dont le métier est plus moral que pas mal d'autre professions qui prostituent la science, l’éducation, la médecine et dévoient leurs convictions religieuses et le culte de nos parents.

La fille qui donne de la joie égaie ses amants au détriment de son équilibre mental et, est la seule, à qui , elle fait mal, si mal , il y a.

Et Boule de suif fut plus intègre que toute la bourgeoisie de son époque .Ah, que Maupassant me pardonne ce raccourci inopportun.

Il existe des boxons et des filles de trottoirs comme il existent des " gamins" qui se vident le trop plein d’énergie sainement .La vocation d'une gourme est d’être jetée pardessus les mines atterrées et les sermons d'un autre temps.

Ah , esprit de Cordoue es-tu là ?

Je refuserai toujours de me laisser entraîner à discuter de religion.
Ma religion est l'islam, c'est la mienne celle que mon père m'a proposée,léguée, inculquée, sans jamais me forcer la main, user de violence.Il n'a jamais été moralisateur non plus.

Chez lui, nous avions la liberté d’être et nous jouissions de celle de penser.

L'islam que je connais m'invite à m'occuper de mes affaires , de balayer devant ma porte , de porter secours à autrui, de donner la main au pauvre, à la femme indigente, à celle que le mari a mis la porte, au malade, à l'orphelin, tout cela sans ostentation, dans la discrétion la plus absolue et selon les capacités de mes moyens.

L'islam que je connais ne juge pas n’émet pas de fatawis imbéciles et s'abstient de donner des leçons à autrui.

L'islam que je pratique ne se venge pas , ne se croit pas obligé de porter les douleurs du monde.
Il ne pose pas de bombes, ne tue personne car il sait et il m'a appris que la vie humaine était sacrée.Il m'a appris que tuer un seul être vivant , une seule personne, femme ou homme revient à considérer cet acte comme un génocide à l'échelle humaine.

L'islam que je connais est respect tolérance et convivialité.
Reste maintenant la pratique du culte, là chacun le fait en fonction de sa lecture des textes, et de sa conscience.

Je refuserai toujours de me justifier de donner des avis parce que je ne me sens pas qualifié pour cela.Je refuse de me livrer à des marchandages d'un autre temps.

Je refuse aussi à quiconque le droit de me juger ni d’émettre des doutes quant à ma foi ou à ma ferveur religieuse car nul n'a le monopole des règles de la pratique du culte .

Et s'il vous plait, je vous en prie, cessez de venir nous bassiner dans des prêches voulus anodins pour une propagande qui n'a rien à voir avec la conception que j'ai de ma religion...

Retrouver les poèmes de Djillali à l'adresse:

menerville2.free.fr

ou sur la rubrique INTERNAUTE

Bonsoir Djillali,

Je transfère tes super Poèmes dans la rubrique Internaute. Ce n'est pas pour les dissimuler c'est surtout pour laisser de l'espace aux autres qui se sentent un peu inhibés par un tel talent. Je pense que cela conviendra à tout le monde. Je préfère réserver la partie Photo à nos souvenirs anciens, qui sont très importants pour nos anciens. Tu as un espace forum pour toi . Envoie moi ton adresse mail à menerville@free.fr pour te donner plus d'explication sur l'accès à ton espace forum; mot de passe etc...
Amitiés Jean-Bernard

ACCÈS DIRECT AUX POÈMES DE DJILLALI

http://menerville2.free.fr//forum/viewforum.php?id=14

Bonne et heureuse année à toutes et à tous.Que la joie demeure en vos foyers.
Un coucou particulier à notre chardonneret ménervillois, Anissa ,une amie de toujours.