Joël,
éclairez moi, les 4 'bidules’ sur la plateforme sont-ils des vérins de soulèvement. Amitiés

Avant son transfert en Algerie ,le PLM A ne disposant pas de wagon dynamométrique la AT 1 fût soumise a des essais en métropole sur le PLM , vue ici entre Laroche Migennes et Dijon en Juillet 1932 les essais concluent elle gagna le PLM A en avril 33 ou des essais qui aller définir le TYPE BT furent long en Mai 34 elle avait 75000 km dans les roues

Joël
Selon moi, la photo a été prise en gare de Laroche Migennes qui se trouve au PK 154,874, si l’on accepte que le chiffre caché par le poteau en profilé soit un 5. Amitiés.

Alors là Jean Baptiste vous me posez une colle!!
Franchement je ne sais pas,je ne peut que supposer,(des vérins destinés a soulever la caisse a eau pour la désolidariser du truck moteur,ou bien un système d'amortissement des vibrassions du roulage envers la caisse a eau servant également de soutien a la caisse qui déborde légèrement en porte à faux au dessus de la traverse de tète ) on retrouve les mêmes "bidule " coté Truck moteur arrière . je ne suis pas très branché VAPEUR mais je par en chasse aux
renseignements .si de votre coté ???

la AT 1 après de long mois d'essais et après modification entre dans le roulement des 12 BT 1a12 de 1936 des 4 BT 13a16 de 1937 des 6 BT 17 A 22 DE 1939 et des 17 BT 23 A 39 DE 1940
amicalement

SVP RECTIFIER LES 7 BT 23 a 29 ET PAS 39

Jean Baptiste ,ne connaissant pas spécialement la gare de Laroche Migenne ni son PK je m'en suis tenu a la zone d'essais du Blaisy Bas entre La roche et Dijon amitiés je passe aux Texas

Effectivement Joël, quatre ‘bidules‘ identiques se trouvent à l’autre extrémité de la locomotive. J’ai pensé aux vérins par la forme caractéristique des vérins à vis et la ressemblance avec les ’bidules’. Ces vérins, dotés d’une vis à filet rectangulaire, peuvent lever des charges jusqu’à 35 tonnes avec une course de 300 mm en fonction de leurs dimensions. Cela ne veut pas dire que les huit vérins étaient prévus pour soulever toute la locomotive. A l’aide de Google j’ai trouvé l’exemple de l’utilisation de vérins, hydraulique ceux-ci, pour intervenir sur une locomotive (voir Screw jack pictures - show more pictures- page21). La AT effectuait des essais, la FB avait prévu certainement de pouvoir intervenir en certaines circonstances. Pourquoi huit vérins, je l’ignore. Je chercherai encore. Amitié.

Joël, ce n’était pas une mise en cause de ma part. Ne sachant pas où situer Laroche Migennes entre Paris et Dijon, j’ai consulté le Wikipédia de Google qui m’a donné le PK de la gare. A la suite de quoi, voulant apporter quelque précision je me suis permis le commentaire que vous savez. Amities.

à Jean-Baptiste Grimaldi

- Pouvez vous me contacter à l'adresse menerville@free.fr
cordialement
jean-Bernard Chaffardon

Jean Baptiste aucun problème avec votre P K j'apprécie tous vos commentaires . Après modification la AT 1 a perdue ses "bidule " une photo que j'ai envoyé au site le prouve, la distribution cossart et bien en place mais plus de ces vérins, alors quel était leur véritable rôle ??? Amitié

Bonjour,
En France (et probablement aussi en Algérie)ces vérins étaient étaient fréquemment utilisés pour dépanner le matériel à voie étroite (métrique et 0,60m). les petits déraillements étaient fréquents sur certains réseaux comme ceux de la Corrèze (TC) par ex. Ils avaient deux vérins du même type (mais plus petits) sur chaque loco et cela suffisait à ré-enrailler la machine. C'était souvent des 030 et il fallait donc obligatoirement soulever tout l'avant de la loco. Pour les Garratt on pouvait certainement soulever le bissel sans grosse difficulté et peut-être le premier essieu moteur. Un cheminot dont j'ai malheureusement perdu la trace m'avait dit qu'ils se débrouillaient avec les moyens du bord lorsque les Garratt à voie étroite du Blida-Djelfa déraillaient suite à des sabotages. Ils utilisaient des chèvres et des vérins mais( suivant la gravité) il leur arrivait de desolidariser le truck déraillé pour remettre la loco sur rails. Ca durait plusieurs jours et la nuit ils se réfugiaient dans le tunnel le plus proche avec le train de secours et l'escorte militaire.

Bonsoir.
Je confirme que cette photo a effectivement été prise à Laroche-Migennes : comparaison des arrière-plans très facile avec quantité d'autres photos d'avant-guerre faites dans cette gare. Selon un collègue britannique, la photo aurait été prise par un ingénieur d'Afrique du Sud qui participait à ces essais pour le compte de Beyer-Peacock, détenteur de la licence. Un tel degré de cosmopolitisme est assez peu courant dans le monde ferroviaire !